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Diffusion sur RFI de l'émission ce jeudi 14 Septembre 2017 - vous m’en direz des nouvelles -

Si vous avez loupé l'émission, d'une durée de 46' 

"Vous m’en direz des nouvelles"

 Ce n'est pas grave.

Prenez le temps

1 ) Cliquez sur la photo d'Alice Zéniter .

***

2) Puis, une fois sur le site, de l'émission cliquez sur la flèche dans le cercle noir 

 comme indiqué ci-dessous.

 

Le nouveau roman d'Alice Zéniter petite-fille de harki est, en quelque sorte, l’histoire d’une enfant du silence, des non-dits. Naïma, une jeune Française qui ne s’est jamais trop posé de questions sur ses origines, va pourtant partir à la recherche d’une identité qui se dérobe.

Car un pays ne se transmet pas par le sang. Si on ne le raconte pas, il se perd.

Alice Zéniter raconte une fresque historique et psychologique puissante et documentée, qui pose un regard émouvant et terriblement humain sur les cicatrices toujours pas refermées de la guerre d’Algérie. L’Art de perdre d’Alice Zéniter est paru chez Flammarion.

Cliquez sur la photo

* Alice Zeniter

ISBN : 2081395533

Éditeur : FLAMMARION (16/08/2017)

Cliquez sur le livre

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Fatima Besnaci-Lancou est écrivaine et fille de Harkis ayant vécu dans le camp de Rivesaltes. Elle a publié notamment Fille de Harki en 2003, et plusieurs autres livres sur le sujet. Elle préside également l’association Harkis et droits de l’Homme.

Extrait audio

Une hypothèse d'archives c'est [de Gaulle]  qui au conseil des ministres exactement le 25 Juillet 1962, avait dit, les harkis on ne peut pas les considérer comme des rapatriés, ce sont des réfugiés, ils ne retournent pas au pays de leurs pères.

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S
Merci pour ce brillant résumé qui en dit long sur la situation des harkis toujours compliquée, hélas ! Il est vrai que le manque de communication est toujours difficile entre personnes d’une même communauté telle que la nôtre. Mais, il faut dire que les harkis n’ont pas reçu beaucoup d’aide de la part de leurs compatriotes français de souche à l’époque. Seuls, quelques officiers se sont montrés courageux à l’époque pour défendre ces pauvres bougres que nous fûmes et avions tout perdu là-bas pour avoir défendu la France avec loyauté. En ce qui concerne les générations suivantes, si elles veulent conserver leur histoire, elles doivent se battre pour faire aboutir leurs droits légitimes et leur statut de français à part entière.
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