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Massacres de Harkis de Juillet à Aout 1962. (Première partie)

 Première partie (Prenez le temps de lire S.V.P)

( ATTENTION, certaines images peuvent heurter la sensibilité des plus jeunes ainsi que des personnes non averties. )

A tous ceux… qui ne croient pas aux massacres de Harkis après le Premier juillet 1962 (Quelques extraits, concernant uniquement les harkis accrochez-vous)

Premier juillet 1962 liste des harkis assassinés.

B. fournit la liste ci-dessous des harkis dont il se rappelle les noms et qui furent assassinés en cette occasion. Lui-même perdit trois frères et sa mère. Il signale que le harki EMRI Amar fut assassiné en compagnie de son épouse et de ses deux enfants (5 et 2 ans I/2).

Le juge de paix européen de Tablat fut témoin des "manifestations" mais n'intervint pas. Les gendarmes firent une intervention auprès de l'A.L.N. mais furent éconduits. Sur 70 harkis qui servaient à Tablat, B. affirme qu'il n'y a que 10 survivants: 5 engagés par le 23éme RA., 5 actuellement au camp de X ... Rabah ben Ahmed, ex-harki au I2e B.I., Tablat: Se trouvant en ville à Tablat au moment de la manifestation du premier juillet, sur dénonciation d'enfants qui se trouvaient en tête du cortège il fût reconnu comme harki et maltraité. Grièvement blessé (larges plaies à la tête dont il porte les significatives cicatrices), il fut laissé sur le trottoir, ainsi qu'ALOUANI Saïd actuellement à X ... qui pour les mêmes raisons avait subi le même sort. Quelques instants plus tard une voiture de l'A.L.N. le récupéra ainsi que son camarade et les transporta à l'hôpital d'Aumale. Là, ils furent mis dans une chambre et laissés sans soins.

Des militaires de l'A.L.N. avaient donné ordre de les laisser se "déchoquer" afin qu'ils puissent être interrogés. Deux soirs de suite ils reçurent la visite de "types énormes" qui se contentèrent de constater qu'ils n'étaient pas encore en "bon état". Enfin le troisième jour, grâce à la complicité d'une infirmière européenne qui les fit sortir de l'hôpital, ils purent se réfugier dans la caserne du 23éme R.A. où ils furent soignés puis dirigés sur Téfeschoun. Avant de partir pour Téfeschoun les militaires du 23éme R.A. les avaient escortés à Tablat pour récupérer la famille. Mais celle-ci (épouse, mère et un neveu) avait été enlevée parl'A.L.N.

HANAFI Salah ben Salah, caporal harki au 12e B.I., Tablat, assassiné le 1er juillet.

EMRI Amar ben Hamdat, harki au 12e B.I., Tablat, assassiné le 1er juillet ainsi que son épouse et deux enfants (5 ans et 2 ans 1/2).

FELLAH Mohamed ben Mohamed, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet, son épouse s'est suicidée.

ROUBAI Mustafa ben Hocine, harki au I2e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

FELLAH Armed ben Mohamed, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

FELLAH Lounès ben Mohamed, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

BRADAT Ahmed ben Rabah, harki au 12e B.I., assassiné le 3 juillet à Tablat, son épouse NAHALI Messaouda et ses deux enfants (4 ans 1/2 et l mois 1/2) ainsi que deux enfants de sa sœur ont été assassinés après tortures et "promenades" devant la population.

GUELATI Ahmed ben Lakdar, harki au 12e B. I., assassiné le 7 juillet à Tablat.

ALLEM Ahmed ben Ali, sergent-chef harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

BRIEDJ Ayache ben Rabah, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

BRIEDJ Ghallia ben Slimane, épouse de BRIEDJ Rabah, tuée le 1er juillet à Tablat (mère du précédent).

BRIEDJ Slimane ben Rabah, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat (frère de Briedj Ayache).

BRIEDJ Amar ben Rabah, 15 ans, frère du précédent, assassiné le 1er juillet.

OMARI Saïd ben Hamadi, caporal harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat (beau-frère du précédent).

DERROUICH Tahar ben Mohamed, caporal harki au 12e RI., assassiné le 1er juillet à Tablat.

OULACHE Ali ben Mouloud, caporal harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

OULACHE Mohamed ben Mouloud, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

OULACHE Rabah ben Mouloud, harki au 12e RI., assassiné le 1er juillet à Tablat.

GUESSAB Moussa ben Amraoui, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat, ainsi que sa mère.

GUESSAB Ahmed ben Amraoui, harki au 12e RI., assassiné le 1er juillet à Tablat.

NOURI Messaoud ben Menouar, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

NOURI Amar ben Rabah, sergent harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

NOURI Kaddour ben Rabah, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

NOURI Mustapha ben Rabah, harki au 12e RI., assassiné le 1er juillet à Tablat.

RAHALI Ali ben Amar, caporal harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

RAHALI Ahmed ben Amar, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

RAHALI M'Ahmed ben Amar, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

RAHALI Mohamed ben Amar, caporal moghzani, S.A.S. de Tablat, assassiné le 1er juillet.

DAOUDI Mohamed ben Ahmed, harki au 12e B.I., assassiné le 1er juillet à Tablat.

DAOUDI Mohamed ben Ahmed, harki au 12e RI., assassiné le 1er juillet à Tablat.

Photo torture 2

17 Juillet 1962

Ben Bella donne une longue interview au Monde, On n'y parle ni des massacres des harkis ni des enlèvements des européens.

19 juillet 1962

Le gouvernement suspend le transfert des harkis en France, les camps d'accueil sont saturés.

14 juillet 1962

CAMP DE BOIS SACRE

Ex-harkis : Cent y étaient internés vers le 15 juillet. Cinquante ont été exécutés vers le début d'août. Il n'en restait plus que vingt au début de septembre.

Européens: Quelques-uns ont été tués. Malheureusement, les renseignements sont devenus très rares. Ils émanent de très rares prisonniers qui ont réussi à s'échapper. C'est ainsi qu'un ancien harki évadé est témoin que X ... (un Français) a été enlevé le 14 juillet dans les environs de Marceau, puis transféré dans ce camp et enfin exécuté quelques jours après dans les conditions suivantes: ligoté à un arbre, les yeux crevés, émasculé, les mains et les avant-bras coupés. Ce camp est connu, régulièrement repéré d'avion, d'où l'on peut voir les Européens et les Musulmans détenus installés dans des baraquements sur la plage. Les djounouds (soldats de l'A.L.N.) ont tous les droits sur ces prisonniers.

CAMP DU DOUAR RIDANE

Situé à 15 km au sud-ouest d'Aumale. En juillet, tous les harkis de la région y ont été rassemblés et divisés en équipes. Chaque soir, l'équipe qui avait eu le moins de rendement était exécutée avec les raffinements habituels. Tous les gradés de ces anciennes harkas ont été tués. Un sergent de vingt-trois ans (quatre citations, médaille militaire à titre exceptionnel) est mort d'épuisement après quatre jours de tortures.

Situation de militaires ou de harkis de la région de Palestro en juillet 1962:

SEBIH Ahmed ben Menouar, mokadem à la S.A.S. de Maallaae1- Isseri, valeur militaire, deux citations, assassiné à El Isseri (Grande Kabylie).

AYACHE Abderhamane ben Ahmed, sergent au commando du 2e bataillon du 1er R.I.M.A., valeur militaire, assassiné au cours du mois de juillet à Boukouchene, commune d'El Isseri.

OUCHEFFOUN Mohamed ben M'ahmed, sergent-chef au commando du 2e bataillon du 1er R.I.M.A., valeur militaire, assassiné au cours du mois de juillet à Soul es Sebt, commune de Bourderbala.

AYACHE Ali ben Ahmed, harki au commando du 2e bataillon du 1er R.I.M.A., valeur militaire, assassiné au cours du mois de juillet à Guerrouma.

BOUCHRIT Ahmed, harki au commando du 2e bataillon du 1er R.I.M.A., valeur militaire, assassiné au cours du mois de juillet à Guerrouma.

AISSAOUI Abdelhatif ben Ahmed, moghzani à la S.A.S. de Guerrouma, valeur militaire, assassiné au cours du mois de juillet à Guerrouma.

Témoignage de B. .. Tahar employé à la Défense et Restauration des Sols (une agence des eaux et forêts) de Palestro: "Les rebelles en armes et tenues nous recherchaient et nous emprisonnaient après nous avoir pris nos économies et nos biens et avoir fait subir les pires outrages à nos femmes et nos filles. Deux de mes camarades, le sergent harki DOUGUANIT Abbderhamane et le moghzani DOUGUANIT Allal ont eu le nez transpercé par un fil de fer au bout duquel était suspendu un poids de deux ou trois kilos. Ils ont été dévêtus et placés dans une salle en plein centre du village.

Les rebelles faisaient payer l'entrée 500 francs à tous ceux qui voulaient les voir et leur administrer quelques coups de canne.

Des centaines de personnes se sont livrées à ce jeu et en particulier des femmes. Mes deux camarades n'ont pas pu tenir longtemps. Ils sont morts au bout de cinq à six heures de ce traitement mais les gens venaient tout de même les voir et les battaient même morts.

Ma femme et mes trois enfants (garçons de 18, 15 et 13 ans) sont entre leurs mains et je ne sais ce qu'ils sont devenus. J'ai vu trois de mes camarades égorgés au camp 640 tout près de Palestro.

Une vingtaine d'autres, tous anciens harkis ou moghzanis emmenés à Tablat et exécutés. J'ai vu un ancien harki tout nu attaché au centre du village avec du fil de fer. Il est mort après deux jours de grandes souffrances."

Photo torture 4

28 juillet 1962

Lors du comité des affaires algériennes de ce jour, il est noté que les harkis sont en France menacés par le F.L.N. Il faut donc les regrouper dans des lieux isolés. Il faut créer de nouveaux camps. Le dossier est confié au préfet Perony.

29 Juillet 1962

Ben Bella convoque la presse internationale à Oran et fait constater que depuis le 21 (huit jours ! !) pas un seul enlèvement d'européens n'a eu lieu. Les journalistes sont époustouflés de cette remise en ordre.

Ni les uns ni les autres ne parlent des harkis, des pillages, de l'éventualité d'un retour des pieds noirs et de toutes ces choses qui fâchent.

Ben Bella se forge ainsi à bon compte l'image d'un homme de bien.

1 Août 1962

Témoignage harki B. .. Ahmed ben Slimane, harki pendant trois ans au 37e B.G., 21e compagnie, Guelma: " Le chef F.L.N., ZEMMOURI Salah, accompagné de quatre hommes, tous en tenue, s'est présenté chez moi dans la nuit (le 1er août). Ils m'ont emmené ainsi que ma femme. Nous avons été attachés et battus. Ils m'ont pris toutes mes économies.

Ma femme a subi les pires violences. Sous mes yeux elle a été violée par quatre hommes. Ma femme a vingt-neuf ans. J'ai eu mon oncle paternel et deux cousins harkis égorgés par les rebelles le jour même de mon évasion. Nous avons réussi ma femme et moi à nous sauver et nous nous sommes mis sous la protection de l'armée… "

Récit fait par A ... Mohamed ben Salah, harki depuis 1955 au 15/1 R.I. de Guelma:

" ABBADLIA Amhed ben Ferhat, harki à la 2e compagnie du 15/1 a été égorgé au cours du mois de juillet.

LAICHI Salah, sergent à la C.C.A.S. du 15/1 a été tué à coups de bâtons et dépecé.

Soixante-quatorze autres harkis au total de la région de Guelma ont été assassinés vers le 15 juillet.

BOVITI Tahar ayant eu quatre fils harkis au 15/1 a été supplicié (deux jambes et deux bras coupés vers le 12 juillet).

Le colonel du bordj de Guelma avait interdiction de sortir troupes et véhicules pour aller sauver les familles menacées.

Le 2 août 1962, vingt harkis de la S.A.S. de Maginot (Médéa) ont été enlevés par l'A.L.N. Aucune nouvelle n'en a été donnée

11 Août 1962

Le général commandant en chef rend compte, comme chaque semaine (rapports des 6, 19, 24 juillet, des 4, 8 Août) des tortures et autres massacres de harkis. Le gouvernement reste de marbre, les journaux aussi.

Un sort particulier fut réservé aux personnalités, le sergent Chaïeb, ancien de l'armée d'Afrique, campagne d'Italie et de France, fut mis à nu et jeté vivant dans un feu de joie, où il était rejeté chaque fois qu'il arrivait à s'en échapper. Le caporal Mansi ben moktar fut découpé au couteau puis enterré sous un tas de fumier. Comme il gémissait encore au matin, il fut déterré, etégorgé. Un moghazni, Ali, futdécoupé et ses morceaux jetés aux chiens qui les mangeaient devant lui. Il mourût vidé de son sang à la nuit. Les harkas des beni boudouane comportaient mille hommes, les deux tiers étaient morts fin 62, en général avec leurs enfants mâles de plus de onze ans (précaution traditionnelle pour éviter la vendetta), parfois avec leurs femmes.

16 Août 1962

Récit de R. .. Mohamed, harki durant cinq ans dans la région des Attouch: . Les anciens harkis du secteur ont été ramassés dans chaque village, empilés dans des G.M.C. et massacrés au lieudit "Maison Cantonnière", où se trouvait auparavant le sous-quartier. Tous les hommes de la harka de Beni-Lalem, région de Zemmorah, arrondissement de Bordj-Bou-Arreridj, ont été massacrés. L'un d'eux, torturé, a crié aux gens de l'A.L.N.: "Jusqu'à la dernière goutte de sang, nous sommes français, vous pouvez nous tuer, cela ne fera pas changer notre cœur." Cette harka célèbre dans la région pour son courage et son efficacité, était commandée par la riche et puissante famille des BOUDACHE.

le maire de Karrabcha, M. ARIBI ALI, a été torturé puis égorgé; la famille BOUGUERRA avait fourni à la France quinze harkis ou moghzanis qui ont subi le même sort. Le chef de la harka de Hamman-Daala, un nommé TAHAR a été écorché vif."

Il existe à Melouza, par Mansourah, arrondissement de Bordj-Bou-Arreridj, actuel P.C. de la naya 321, un camp où sont parqués deux cents harkis et moghzanis de Dahman-Daala et Beni-Ilman: Dans ce camp, le maire de Karrabcha, M. ARIBI ALI, a été torturé puis égorgé; la famille BOUGUERRA avait fourni à la France quinze harkis ou moghzanis qui ont subi le même sort. Le chef de la harka de Hamman-Daala, un nommé TAHAR a été écorché vif."

"J'ai eu toute ma famille prise par les rebelles et exécutée.

RAHMANI Mohamed ben Amar (maire), sa femme et ses six enfants.

RAHMANI Ali ben Amar (garde champêtre), sa femme et un enfant.

RAHMANI Said ben Ahmed (harki), sa femme et ses quatre enfants.

RAHMANI Ahmed ben Amar (harki) et sa femme.

RAHMANI Mohamed ben Ameziane (harki), sa femme et ses deux enfants.

RAHMANI Mohamed Saad (harki).

J'ai eu également des camarades

BENDAOUI Saïd ben Mohamed (harki) égorgé.

BENDAOUI Mohamed (harki), sa femme et ses trois enfants égorgés.

BENDAOUI Ali ben Haski (harki), égorgé, ainsi que sa femme, sa mère et sa sœur.

MEDDAR Ahmed ben Ahmed (harki), sa femme et ses quatre enfants égorgés.

MEDDAR Mohamed Saïd (harki), sa femme et ses neuf enfants égorgés.

DJEBARI Amar (harki), sa femme et ses quatre enfants.

DJEBARI Mohamed ben Amar (harki), sa femme et ses trois enfants.

DJEBARI ben Amar (harki), sa femme et ses deux enfants.

SEDDIL Ali (harki) et douze membres de sa fami11e.

SEDDIK SEDDIL (harki), sa femme et un enfant.

CHARFAOUI Mohamed Mohamed (harki), sa femme et un enfant.

MEDDAR Amar ben Ahmed (harki), sa femme et six enfants.

SEMAOUN Mohamed ben Amar (harki), sa femme et quatre enfants.

SEMAOUN Mohamed ben Ahmed (harki).

LABRI Said ben Ahmed (harki), sa femme et un enfant.

LABRI Rabah ben Said (harki).

LABRI Mohamed ben Saïd (harki) et sa femme.

Tous ont été enlevés, conduits dans le djebel et exécutés après avoir subi les pires atrocités. Le nommé SEBBANE Tayeb, harki, a été littéralement coupé en morceaux. Le sergent harki LAGHA Salah a été massacré à coups de pioche.

Le nommé NAIT BELKACEM SAID, interprète de la S.A.S. d'Ouled-Rached, adjudant de l'armée française en retraite, médaillé militaire, après avoir été lardé de coups de couteau, laissé trois jours dans des W.C., traîné au bout d'une corde dans le village, est mort le 10 août 1962.

18 Août 1962

La commune de Teffreg est sous les ordres du chef rebelle Guettari, libéré en Mars 1.962 d'une prison parisienne. Il fait régner la terreur dans toute la région. Il a fait brûler vif son ancien camarade, le harki Sebbane Sadek, ancien F.L.N. rallié à l'armée française, couper en morceaux le harki Sebbane Tayeb, massacrer à coups de pioche le sergent harki Larba. Le harki Naït Belkacem Saïd, interprète de la S.A.S. d'Ouled Rached, adjudant de l'armée française en retraite est mort le 18 août 1962 après avoir été lardé de coups de couteaux, exposé dans les WC et traîné au bout d'une corde. Tous les harkis de bordj bou arredidj ont été enfermés dans la maison cantonnière et massacrés.

19 Août 1962

92 harkis (et familles) sont évacués de Er Rich par hélicoptère par le colonel Bernard. Le FLN porte plainte pour enlèvement.

Photo torture 3

« Mes frères, ne tuez pas seulement… mais mutilez vos ennemis…
crevez-leur les yeux, coupez-leur les bras et pendez-les »
(« Ez Zitouna », organe du FLN)

           FIN de la première partie 

ici   Deuxième partie

*******

l'Association Départementale Harkis Dordogne Veuves et Orphelins , et le site http://www.harkisdordogne.com/ Périgueux

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