9 Juillet 2018
Groupe de travail : « Pour la justice de la composante citoyenneté française-anciens-combattants-harkis et leurs descendants »
«Abdallah Krouk et Nasser Nouali, du groupe de travail de transition impartial et exemplaire de l'article 1er de la Constitution du 4 octobre 1958 de la Ve République pour la justice de la composante citoyenneté français anciens combattants harkis et leurs descendants, remémorent l'histoire, à savoir que le Bachagha Boualem a été trois fois vice-président à l'Assemblée nationale, le capitaine Klif, de Lyon, a sauvé des pieds-noirs rue d'Isly. Nous sollicitons pour un travail de mémoire une promotion à l'Ena et à l'école de Saint-Cyr. Cette promotion doit porter leur nom en mémoire de leur patriotisme et leur citoyenneté française par le sang versé.
Concernant la justice des citoyens français anciens combattants et leurs descendants à l'article 1er de la Constitution du 4 octobre 1958, elle se justifie légalement par les devoirs et les droits.
Concernant les devoirs, nous prenons à témoin et exigeons les témoignages de la grande muette l'Armée française pour confirmer l'héritage de nos aïeux par le sang versé.
Concernant les droits, ceux-ci ont été privés par une sous-citoyenneté voulue par une volonté délibérée par les qualificatifs des forces supplétives et assimilés d'origine nord-africaine ou français musulmans.
Aujourd'hui, nous exigeons du Président de la République Emmanuel Macron de reconnaître officiellement par l'article 38 de la Constitution du 4 octobre 1958 de la Ve République les devoirs exemplaires et patriotiques des citoyens français anciens combattants harkis et de leur restituer leurs droits fondamentaux s'il veut officialiser un service national universel et citoyen.
La légitimité de cet acte de cohésion sociale et de citoyenneté ne pourra se faire et être acceptée par les jeunes générations sans cette justice historique.
Les citoyens français anciens combattants harkis et leurs descendants font partie indiscutablement de l'identité nationale et du roman national.
Nous tendons la main à l'institution de l'Armée française pour rétablir la manifestation de la vérité historique.»
Abdallah Krouk et Nasser Nouali de la résistance harkie
06/07/2018
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