8 Mars 2022
C'est dans un esprit bon enfant, et une ambiance joyeuse que les Harkis de Grasse et leurs collègues des communes avoisinantes, se sont retrouvés "Salle Timgad" en lieu et place de l'ancien Camp de Harkis...
En signe de bienvenue, Jean Pierre Behar le président local mouansois, a revêtu la casquette "de gardien du Temple", pour accueillir plus d'une centaine de membres...dont plusieurs sont restés dehors, faute de places.
La salle étant trop petite pour accueillir tout ce monde, à la joyeuse surprise du président départemental et responsable de la section grassoise, Ali Amrane, entouré de son staff Georges Messaoud, André Seby, Lakdar Messaoud, Fatma Bourkab, M'hamed Tseldjoune, Rosy Boudaoud,
Patrice Nemri, Myriam et Sabrina Djaghrif, Danièle Ladrouz.
Se sont joints plusieurs élus, dont Pierre Aschieri, maire de Mouans-Sartoux, Richard Kiss représentant Jérôme Viaud maire de Grasse,
Bernard Alenda, adjoint représentant Michèle Tabarot, député ; Dalila Djaghrif, conseillère municipale à Mouans Sartoux, plusieurs porte-drapeaux de Carros, Cannes, Le Cannet, Mouans-Sartoux et Grasse.
Bref, un programme chargé par le discours du fameux "pardon" du président Macron, les événements législatifs, la loi de Reconnaissance, et de Réparation, les amendements soumis aux Sénateurs, etc.… ce que n'a pas manqué de rappeler Ali Amrane.
La Communauté Harkie a fait part de sa déception sur les dispositions de la loi, mais enregistre une satisfaction du doublement de la rente viagère pour les veuves de Harkis.
Le président a présenté les projets 2022, les différents rapports financiers, moraux et d'activités par la voix de Fatma Bourkab et Georges Messaoud.
L'assistance a observé une minute de silence en mémoire des amis disparus en cette période du Covid-19, avant de rendre un hommage aux anciens, au Bachaga Saïd Boualam et l'ami des Harkis, que fût André Aschieri ancien maire de la Commune.
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