25 Mai 2018
Abdallah KROUK et Nasser NOUALI du groupe de travail de transition impartial et exemplaire de l’article 1er de la Constitution « Du 4 octobre 1958 de la Vème République pour la justice de la composante citoyenneté français anciens combattants harkis et leurs descendants, re-mémorisent l’histoire, à savoir que le Bachagha BOUALEM a été trois fois vice-président de l’Assemblée Nationale, le capitaine KLIF de Lyon a sauvé des Pieds Noirs, rue d’Isly en Algérie.
Nous sollicitons pour un travail de mémoire une promotion à l’ENA (Ecole Nationale de l’Administration) et à l’école de Saint-Cyr.
Cette promotion doit porter leur nom en mémoire de leur patriotisme et leur citoyenneté française par le sang versé.
Concernant la justice des citoyens français anciens combattants et leurs descendants à l’article 1er de la constitution du 4 octobre 1958 se justifie légalement par les devoirs et les droits.
Concernant les devoirs nous prenons à témoin et exigeons les témoignages de la Grande Muette, l’armée française, pour confirmer l’héritage de nos aïeux par le sang versé.
Concernant les droits, ceux-ci ont été privés par une sous-citoyenneté voulue par une volonté délibérée par les qualificatifs des forces supplétives et assimilées d’origine nord-africaine ou français-musulmans.
Aujourd’hui, nous exigeons du président de la République Française, monsieur Emmanuel MACRON, de reconnaître officiellement par l’article 38 de la constitution du 4 octobre 1958 de la Vème République les devoirs exemplaires et patriotiques des citoyens français anciens combattants harkis et de leur restituer leurs droits fondamentaux s’il veut officialiser un service national universel et citoyen.
La colonne vertébrale et la légitimité de cet acte de cohésion sociale et de citoyenneté ne pourra se faire et être accepter par les jeunes générations, sans cette justice historique. Les citoyens français anciens combattants harkis et leurs descendants font partie indiscutablement de l’identité nationale et du roman national. Nous tendons la main à l’institution de l’armée française pour rétablir la manifestation de la vérité historique ».
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