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Témoignage - l’enfer vécu par des milliers de familles de Harkis après le cessez-le-feu, de Mohamed-Djafour

- Témoignage de Mohamed Djafour -

Ce texte relate l’enfer vécu par des milliers de familles de Harkis après le cessez-le-feu. La région de Tizi-Ouzou en particulier Makouda et ses alentours, en Kabylie est connue pour son excès de violence sans pitié à l’égard des Harkis et de leurs familles.

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Témoignage - l’enfer vécu par des milliers de familles de Harkis après le cessez-le-feu, de Mohamed-Djafour
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Septembre 2018

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R
Quelle émotion ...on ne peut "vivre" ce témoignage que les larmes aux yeux...Mais tout ce vécu a forgé un homme..une personnalité...<br /> L'émotion à travers chaque ligne de ce témoignage que j'ai partagé avec compassion <br /> Merci
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F
Rarement un témoignage aussi fort aura été publié sur harkisdordogne. Le calvaire vécu par cette est insupportable.
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M
Salut mon ami,<br /> La réalité de ton récit et vécu ainsi que ton témoignage me rappellent fortement mon triste parcours.<br /> Nous enfants nés de l'autre côté du rivage de la Méditerranée portant en nous cette horrible histoire.<br /> Le calvaire que fut notre misérable adolescence aucune médecine ni docteur ne pourront jamais atténuer notre mal être.<br /> Nombre de nos jeunes frères de misères se sont donné la mort suite aux nombreux traumatismes et autres maux.<br /> Je partage avec toi ce lourd fardeau de malheur et de tristesse que fut notre enfance après le 19 mars 1962.<br /> Que jamais au grand jamais nul ne l'oublie afin que nos descendants connaissent notre moribonde page noire de la tragédie harkie.<br /> Je t'embrasse mon cher ami et la lutte continue.<br /> Marc B<br /> .
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S
Quel parcours! émouvant, terrifiant, je l'ai lu les larmes aux yeux. Quel courage aussi, votre courage, celui de vos parents, de vos frères et sœurs.Ce parcours, beaucoup de harki l'ont connu. C'est d'une injustice innommable! une enfance volée, une violence crasse! votre détermination est remarquable! que le meilleur vous accompagne.Que la Réparation arrive enfin!
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M
Merci Marc, les années passent mais les souvenirs restent. Avec eux ces souffrances dont nous sommes imbibés et qui paraissent si lointaines aujourd'hui, à tel point que quand on les raconte on nous prend pour des martiens ou pour le moins des menteurs.<br /> Merci à mon chef de chambre à Ongles (04) lors de ma toute première année de scolarité de 70 à 71, j'avais 14ans, où tu m'as rappelé que je savais dire seulement "oui et non" en français.
G
Bonjour à tous, bonjour Mohamed,<br /> <br /> Ouf, ouf, je viens de finir de lire le récit de la vie que ta famille et toi même avez vécu du cessez le feu (soi disant) à votre départ de votre terre natale. Pas facile, tant l'émotion est présente... <br /> <br /> C'est très très dur à lire tant vos souffrance ont été épouvantables et le mot souffrances est faible, je dirai plutôt, votre calvaire. <br /> Mais, votre soif de vivre à toi et à tes parents a été plus forte. Par votre courage et votre abnégation, vous vous en êtes sortis, meurtris certes mais la tête haute. <br /> Tu es là Mohamed pour témoigner et c'est bien ainsi, merci d'avoir pu le faire, cela n'a pas du être chose aisée pour toi.<br /> <br /> Harkamicalement.
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M
Bonjour Guy,<br /> Merci d'avoir pris connaissance cette partie de notre tragédie. Mais tu sais Guy, ce récit n'est que la partie immergée de l'iceberg. Toute notre vie fut une tragédie. On nous a poussé au fond gouffre et on a tout fait pour qu'on y reste. C'est le combat d'une vie et on ne lâchera jamais rien. Merci à toi.
M
Bonjour Sophia, <br /> Ce témoignage commun à tous ceux qui n'ont pu s'évader en 62 et que je comprends qu'il vous fasse pleurer, ne relate que six années de notre calvaire (en tout cas pour ma famille). Cette trahison unique dans l'histoire, subie par la population Harki a continué en France dans les camps, les hameaux de forestage etc...Cette trahison que je répète unique dans l'histoire, devrait nous unir afin d'obtenir une réelle reconnaissance et une réparation à la hauteur des préjudices subis même si aujourd'hui celle-ci n'est pas la importante de nos revendications. Vous voyez bien qu'on continu à nous insulter à tous les coins de rue et parfois même par nos propres élus et personnalités. Merci pour votre intervention. Bien à vous.