3 Janvier 2019
Ahmed Alexandre Dakiche guette la cime de l'un des immenses eucalyptus qu'il a vu grandir, enfant, sur l'ancien camp de harkis de Sophia Antipolis. J. T.
Extrait
Ahmed Dakiche se bat depuis pour que la mémoire de ceux qui ont vécu dans l'ancien camp soit respectée. Malgré une première victoire, il ne baisse pas les bras
Sur l'ancien camp de harkis de Sophia Antipolis, situé le long de la route des Dolines, au niveau du quartier des Bouillides, la nature a repris ses droits. Seules quelques cicatrices de béton témoignent du passé de ce site qui a hébergé jusqu'à 30 familles de harkis, soit environ 250 individus, depuis la fin de la guerre d'Algérie en 1962 et jusqu'en 1992.
Quelques marches d'escaliers, çà et là, ont résisté au temps. Comme les immenses eucalyptus qui continuent d'orner les cinq restanques qui ont jadis, et pendant plusieurs décennies, été le foyer de dizaines de familles.
02/01/2019
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