Ainsi F. Hollande déclare « Rien ne se construit dans la dissimulation, dans l’oubli et encore moins dans le déni », puis, « Connaitre et établit la vérité est une obligation, elle lie les algériens et les français », ajoutant, plus loin « Nous avons le respect de la mémoire, de toutes les mémoires (…) La paix des mémoires a laquelle j’aspire repose sur la connaissance et la divulgation de l’histoire»
Les pieds noirs, sans les citer, bien sûr, ont eu droit néanmoins à un rappel de leur histoire « Tous ces français nés en Algérie, partis dans les conditions que l’on connait…et qui portent l’Algérie dans leur cœur ». Les harkis, non.
- « Il est nécessaire que les historiens aient accès aux archives et qu’une coopération dans ce domaine puisse être engagée poursuivie et que progressivement cette vérité puisse être connue de tous. »
- « Je reconnais les souffrances que la colonisation a imposé au peuple algérien. »