Droit de réponse de Karima Dirèche (CNIH) à propos de son rapport de 6 pages de l'Annexe 4

Je suis en effet l'auteure de ces propos à la demande du journaliste de Var-Matin qui a souhaité connaitre mes positions face aux accusations de Ahmed Djouari. Ce texte a suscité une polémique consternante qui déforme en quasi-totalité la lecture que je propose. Je ne connais pas votre groupe mais vous pouvez publier ma réponse si vous le souhaitez. Bien cordialement 

" J’ai établi un état des lieux des savoirs produits en Algérie avec un propos mesuré et nuancé. En Algérie, l’histoire des harkis est encore lourde de stéréotypes et de représentations négatives et elle reste très sensible auprès des chercheurs algériens. Très peu de personnes n’osent publier ou enquêter sur cette histoire qui est interdite d’enseignement. J’ai expliqué la façon dont les Algériens rendent compte de cette histoire qui est à l’opposé de celle qui est enseignée en France. Contrairement à ce qui a été dit, Je n’ai ni insulté ni diffamé les harkis. On me fait un procès d’intention mais pour moi, il n’y a aucun enjeu. L’annexe peut même être retirée. "

 Karima Dirèche

- Pages de 149 à 153 du rapport de 5 pages de Karima Dirèche -

pour en savoir plus sur Karima Dirèche

- Pour rappel, lire aussi la position  d’AJIR France pour les Harkis sur le rapport complet de la CNIH -

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