22 Septembre 2018
«Honorer un mort, quel qu'il soit, est toujours un acte fort et personne ne peut contester cela, reconnaît Boaza Gasmi, le président du Comité national de liaison des harkis (CNLH). Mais il ne faudrait pas que ce choix du président de la République fasse oublier un autre drame tout aussi grave: celui vécu par les harkis et leurs enfants. La France doit savoir ce qui s'est vraiment passé et essayer de réparer enfin le préjudice subi par nos parents, ces soldats et citoyens français abandonnés en Algérie en 1962.»
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