24 Avril 2019
Cinquante-sept ans après la fin de la guerre d’Algérie, leur sort reste une plaie à vif, qui mobilise de nombreuses associations.
Mohamed, harki et Abdellah Haddouche fils de harki. L’histoire de son père, il l’a faite sienne. Le combat pour la reconnaissance et l’indemnisation de ces« supplétifs de l’armée française », comme on les appelait alors, est devenu le sien. Et celui de sa génération, celle des enfants de harkis, que la France a, dit-il, elle aussi, « laissée tomber ».
Photo d' illustration
Emmanuel Macron leur a promis de « régler la question une fois pour toutes ». Une « cérémonie d’hommage exceptionnelle » – le Panthéon a été évoqué – et un « geste fort de reconnaissance » ont été annoncés. L’événement devait avoir lieu en décembre, il a été reporté à une date encore inconnue. L’équation est épineuse pour le chef de l’Etat : si certains ont « tourné la page », pour d’autres, en revanche, rien, jusqu’à présent, n’est parvenu à panser leurs blessures.
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24/04/2019
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