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Vu d'Algérie- Plus de 35000 Harkis ont servi l'armée française en Algérie après l'indépendance

À ce jour, le ministère français des Armées a précédemment distribué 35000 cartes d'anciens combattants aux soldats qui ont travaillé en Algérie après l'indépendance, ce qui signifie que l'Algérie est officiellement devenue une zone de guerre entre juillet 1962 et juillet 1964, c'est-à-dire pendant son indépendance. , qui est le processus qui a coûté au Trésor français 16 millions d'euros, en plus de 2,5 millions d'euros, en solidarité avec les fils des Harkis et leurs familles.

À ce jour, le ministère français des Armées a précédemment distribué 35000 cartes d'anciens combattants aux soldats qui ont travaillé en Algérie après l'indépendance, ce qui signifie que l'Algérie est officiellement devenue une zone de guerre entre juillet 1962 et juillet 1964, c'est-à-dire pendant son indépendance. , qui est le processus qui a coûté au Trésor français 16 millions d'euros, en plus de 2,5 millions d'euros, en solidarité avec les fils des Harkis et leurs familles.

Un rapport médiatique de la commission des finances, de l'économie publique et du contrôle budgétaire de l'Assemblée nationale (Parlement), daté du 10 juillet 2020, - dont copie est à la disposition d'Echorouk-, indique qu'en 2020 le Trésor public français a dépensé 16 millions d'euros au titre de conséquence de l'octroi de la carte des anciens combattants à 35 000 soldats qui ont travaillé dans l'Algérie post-indépendance (de 62 juillet à juillet 1964).

Le rapport indique que le lancement d'un programme spécial de solidarité pour les fils des Harkis et leurs familles (traîtres de la révolution de libération algérienne), qui a abouti à un impact financier de 2,5 millions d'euros, ce qui signifie que l'émission des cartes des anciens combattants accordés à 35 000 soldats et le programme de solidarité avec les fils Harki et leurs familles, a atteint en 2020: 18,5 millions d'euros.

Selon le rapport, ce succès dans l'allocation de ce budget aux militaires qui ont travaillé dans l'Algérie post-indépendance et la solidarité avec les fils des Harkis et leurs familles, n'aurait pas été possible sans la mobilisation exceptionnelle du Bureau français des vétérans, victimes de La guerre et les associations d'anciens combattants.

Auparavant, le parlement français dans ses deux chambres avait révélé - par des documents officiels - que le nombre de soldats qui travaillaient en Algérie après l'indépendance avait atteint 20000, du 3 juillet 1962 au 1er juillet 1964, indiquant que 535 soldats français avaient été éliminés en L'Algérie après l'indépendance, ou sont toujours portées disparues.

Sous la pression du Bureau des anciens combattants et des associations, les autorités françaises ont amendé la loi sur l'octroi des cartes d'anciens combattants, car l'obligation de l'octroyer aux militaires ayant travaillé en Algérie après le 3 juillet 1962 entre en conflit avec le décret mettant fin à la guerre et aux opérations militaires en L'Algérie, qui coïncide avec la même histoire.

En vertu de cet amendement, le ministère des Armées français a accordé la carte d'anciens combattants aux soldats qui ont travaillé en Algérie jusqu'en juillet 1964, bien que les opérations militaires aient pris fin en 1962, faisant de l'Algérie une zone d'opérations militaires françaises au plus fort de son indépendance.

19/07/2020

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Mémoire Algérie-France Avec le Français Benjamin Stora et l'Algérien Abdelmadjid Chikhi Les Oubliés de la République seront-ils enfin reconnus?? - Il est toujours plus facile de commencer une guerre que de la terminer. Si dès septembre 1959, à travers son discours sur l’autodétermination du peuple algérien, le général de Gaulle « comprit » l’inéluctabilité de l’indépendance de l’Algérie, il fallut encore plus de deux ans pour parvenir à la signature des Accords d’Evian. Plusieurs dizaines de milliers de jeunes Algériens, qui avaient répondu à la conscription, servaient alors dans l’armée française et ils constituèrent le noyau de la Force d’Ordre, dite Force locale, devant assurer le maintien de l’ordre sous les ordres de l’Exécutif provisoire, entre le cessez-le-feu du 19 mars 1962 et le vote d’autodétermination du 1er juillet 1962 dont le résultat ne faisait guère de doute. Faute de cadres indigènes compétents en nombre suffisant (même après 130 ans de colonisation), des militaires français, engagés et 3 000 à 4000 appelés du contingent, furent affectés à ces unités de Force locale.
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