Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

«Des ministres fils de Harkis au gouvernement»: la bombe lâché par ALI FAWZI REBAINE

 

«De ministres fils de Harkis au gouvernement»: la bombe lâchée par ALI FAWZI REBAINE

Ali Fawzi Rebaine a lâché une bombe lors de son meeting à Mila, dans un contexte de polémique qui enfle sur les deux rives de la méditerranée après les déclarations du candidat aux présidentielles françaises Emmanuel Macron avouant que la colonisation de l’Algérie par son pays était un crime contre l’humanité ainsi que l’apparition sur l’ENTV, d’une descendante du Bachagha Benguenna connu comme un Harki qui a commis des crimes contre le peuple algérien pour le compte de la France coloniale.

Le président de AHD54 s’est attaqué frontalement à plusieurs ministres du gouvernement qui, selon ses propos rapportés par le quotidien Liberté, «recrute ses ministres parmi les fils des harkis» en invitant son auditoire à «sur Google et cherchez les noms de famille des ministres 43 algériens et vous allez être stupéfaits de ce que vous apprendrez. Beaucoup sont des fils de harkis.» aurait-il déclaré.

 

Sur fond de la polémique sur le Bachagha Bengana, Ali Fawzi Rebaine aurait également attaqué le Front de Libération Nationale (FLN) qui selon lui fait «l’apologie des harkis et de leurs fils en les honorant à chaque fois que l’occasion se présente et en leur facilitant l’action et les déplacements sur le territoire national» rapporte ledit quotidien.

Image associée

*******

*******

Vous pouvez laisser un commentaire sous chaque article, en bas à gauche, dans commenter cet article.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
H
Les débats en Algérie sont surréalistes. 60 ans aprés ils en sont encore à faire la chasse aux sorciéres.Quant on sait combien de vrais combattants se sont battus pour l'independance ils devraient adopter un profil bas. Tous plus nationalistes les uns que les autres J'invite Macron a lire cet article pour se faire une idée du climat politique algerien et de leur désir de tourner la page. Comme disait Kamel Daoud le trauma colonial continue.
Répondre